Une fenêtre sur la ville

29 Eylül 2020 0 Yazar: admin

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Une fenêtre sur la villeLa Rochelle est une bien belle ville. On y vit agréablement, le temps y est clément avec beaucoup d’ensoleillement, les filles y sont jolies, et le quartier des Minimes, où je vivais, en est littéralement plein. Forcément, c’est le le quartier de l’université, on baigne dans le cocktail troquets/jolies nanas…. mais moi, je n’en profitais pas. Trop timide. Oh les choses ont changé depuis lors. Les hormones me poussent parfois dans des directions inattendues. C’est parfois le cas aujourd’hui, c’était déjà le cas lorsque je faisais mes étudesComme tous les jeunes garçons, j’ai découvert le désir des femmes en les regardant. A l’époque, pas d’internet. C’était encore le temps des Playboy, Lui, et du porno de Canal + le premier samedi du mois. Et la timidité a fait que je n’ai pas été capable d’assouvir mes désirs avant d’être largement adulte. Tout ça pour dire que mes regards sur les filles ont d’abord été de la curiosité, puis du désir, puis… un peu de l’obsession sexuelle. Il était très courant que je ressente les effets du désir en regardant une jolie fille au collège d’abord, comme tout le monde, mais aussi au lycée, puis à la fac : gorge qui se serre, bouche sèche, chaleur intense, et évidemment, émois dans le pantalon. Alors forcément, mes masturbations étaient nombreuses. Plusieurs fois par jour. Et longues. Le plus souvent, allongé sur mon lit. Mais j’ai passé un cap au-delà du simple voyeurisme masculin basique qui conduit à se tirer sur la nouille en regardant des photos ou des films.Je vivais dans un studio au deuxième étage d’un bâtiment assez imposant, en plein dans un quartier étudiant. Inutile de dire que même si ce n’était pas du tout une résidence étudiante, cette population grouillait dans cet immeuble, et dans les alentours. Je voyais très bien les résidents du quartier sortir ou rentrer chez eux, et du deuxième étage, je distinguais très bien les gens, leur visage, leurs tenues Je voyais des passants à longueur de journée dans la rue. Enfin, si je regardais. Or, je regardais beaucoup. Et ça m’excitait beaucoup. Il m’est arrivé souvent de ressentir une montée du désir en regardant passer une jolie fille, surtout en me disant que je pouvais la détailler et qu’elle ne me voyait pas. Je sentais monter le désir et mon érection avec. Au point de ressentir l’envie de me masturber en les regardant, et je ne résistais pas, caché dans un angle de ma fenêtre, pour voir sans risquer d’être vu. Là où ça prenait une tournure spéciale, c’est lorsque je reconnaissais la fille que je voyais passer : voisine, camarade d’amphi, ou juste quelqu’un qui habitait dans le quartier. Ça devenait assez délicieux. Parfois je retardais le moment de mon éjaculation, parce que je savais que j’allais voir quelqu’un en particulier, en fonction des emplois du temps de chacun. Cela accroissait encore mon plaisir. Une camarade d’amphi, Caroline, sur qui j’avais eu des vues (c’est le cas de le dire…), vivait non loin de mon studio, à 300 mètres environ. Elle passait devant chez moi pour aller à la fac. Une assez jolie fille de 21 ou 22 ans (trois an de plus que moi), environ 1m70, blonde foncé, les yeux clairs, des épaules musclées de nageuse régulière, jolies jambes assez longue et musclées, et une poitrine qui me faisait baver. A vue de nez (lequel, hélas, n’a pas eu la chance de les voir d’assez près…), je dirais qu’elle devait tourner autour de 90D. Pour quelqu’un qui était en manque, et aime les belles poitrines, elle représentait une cible de fantasmes de premier choix. Et outre sa plastique, elle m’avait donné de bonnes raisons de fantasmer. Elle n’était pas célibataire. Elle sortait avec un mec plus âgé d’une quinzaine d’années, et tout n’était pas tout rose. Je ne me rappelle plus des détails, mais elle oscillait entre le bonheur le plus complet, et l’envie de le plaquer, avec les yeux embués de larmes. Elle était amoureuse, ça se voyait, mais ça ne se passait pas comme elle l’espérait… Un jour qu’elle était passée discuter chez moi, on s’était retrouvés assis face à face sur deux petites chauffeuses, dans un passage si confinés qu’il y avait juste de quoi passer un pied entre les deux. Autant dire qu’il fallait vouloir s’installer à deux ici. Le plus souvent, je me vautrais sur l’une des chauffeuses, en posant mes jambes pliées sur celle qui lui faisait face, pour regarder la télé posée sur un meuble contre lequel était adossé la seconde chauffeuse. Caroline et moi étions donc très proche, dans le même mètre carré. Elle était dans une phase “j’en ai marre, je vais le plaquer”. De fil en aiguille, nos conversations se faisaient plus ouvertes, plus directe, plus…coquine. Peut-être que la première approche que j’ai eu avec elle n’y était pas étrangère. On avait abordé une problématique liée au mariage en cours, et elle en parlait avec mon voisin d’amphi. Elle affirma qu’elle n’était pas prête du tout à se marier. “Tu as raison, autant passer directement à la nuit de noce sans les formalités.” lui avais-je dit. Comme première phrase, c’est un peu osé, mais mon but c’était surtout de la faire marrer. Et nos conversations ultérieures sont restées sur ce ton qui mélangeait humour et grivoiserie, ce qui m’arrangeait bien en raison de ma timidité maladive. Cela durait depuis quelques bursa escort mois, et j’avais appris qu’elle avait une sexualité fort épanouie, sans être débridée pour autant, mais elle s’amusait quand même bien au lit. En revanche ce fameux soir là, face à moi, je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit si directe.- “Est-ce que ça te dirait de coucher avec moi ? Juste de s’envoyer en l’air, se faire du bien, sans sentiments ?”Je dois dire que mes yeux se sont écarquillés sous la surprise. Je n’avais pas l’habitude qu’on me fasse une proposition si franche. Je me sentais démuni, et gêné.- “Heu, bah, à ton avis ?”Oui. J’ai répondu ça. Comme réponse conne, je crois avoir été en lice pour la médaille d’or toutes catégories confondues.- “Je ne sais pas, je te demande !”Elle avait manifestement envie de passer rapidement à autre chose, pour oublier son dépit et sa peine. Et moi, je fantasmais à fond sur elle depuis un moment. Pas de sentiment, juste du désir. Et une putain d’envie de sexe, moi qui n’avait pas eu de copine depuis bien (trop) longtemps. – “Oui, évidemment !”J’étais tendu comme un string, je devais être complètement écarlate. J’osais à peine la regarder. Oui, timide à ce point. Et je ne savais pas où poser mon regard. Ses yeux ? Ah non, je n’y arrive pas… Ses seins ? Ah purée, qu’ils sont beaux, ronds… ah mais oui mais non, ça se fait pas, regarde ailleurs (MAIS QUEL CON !!!). Ses jambes ? Mmmmm jolies gambettes, longues, délicieusement pliées par la position assise à quelques centimètres du sol, les genoux écartés de la largeur des épaules, juste en face de moi, et ce jean qui la moule à l’entrejambes…. ouais, mais ça va se voir que je la dévore des yeux, arrête, regarde ailleurs, abruti !… et là je mes yeux se baissent pour arriver sur mon entrejambe, pour m’apercevoir que je suis en érection. Pas besoin de ça pour la savoir, évidemment, mais j’ai pu constater que ça se voyait bien. Mon sexe, pourtant pas impressionnant, avait férocement envie de se déployer, et tendait mon jean. Redressant la tête rapidement en espérant ne pas avoir entraîné son regard avec le mien, j’ai vu que ses yeux, à ma grande gêne, étaient posés sur mon bassin et détaillaient la bosse. – “Je crois que tu as envie, en effet !”Et ça la faisait sourire. Moi j’étais franchement gêné, et elle se marrait. Mais voyant que ma gêne se prolongeait, malgré mon excitation évidente, elle entreprit de me rassurer :- “On ne va pas le faire maintenant, je suis attendue dans quinze minutes, et je n’aime pas faire ça vite fait. Si tu es d’accord, on fait ça jeudi soir ? A moins que tu ne n’aies quelque chose de prévu…- Non non, ça me va très bien !- …ou que tu ne changes d’avis d’ici là…- J’crois pas, nan ! Jeudi, c’est très bien.” Bien sûr que c’était très bien : je ne m’en rappelle plus, mais je m’étais sûrement masturbé plus tôt dans la journée, voire peut-être bien juste avant qu’elle ne vienne chez moi ! (C’est d’ailleurs arrivé qu’elle passe à l’improviste alors que j’étais sur mon lit la queue à la main, et elle l’a remarqué, mais c’est une autre histoire…) Donc voilà. J’avais rendez-vous pour une partie de baise avec une fille superbe, qui me faisait fantasmer depuis des mois. J’avais très envie d’être à la hauteur, et de profiter de cette séance avec elle. Alors, malgré une excitation évidemment au firmament du lundi soir de cette discussion jusqu’au jeudi, je me suis abstenu de toute masturbation. Je voulais lui réserver tout mon sirop de roupettes, et toute mon énergie.La déception fut cruelle.Dans l’après-midi du jeudi, j’ai reçu un appel de Caroline. Elle m’a annoncé qu’elle avait changé d’avis, qu’elle était très amoureuse de son ex-copain, et souhaitait donner une nouvelle chance à leur couple. Elle m’a dit qu’elle s’imaginait que j’avais été très excité (c’était le cas) et que j’avais dû donner du travail à la veuve poignet depuis trois jours. Je l’ai sentie désarçonnée d’apprendre que je me réservais pour cette soirée. Elle était gênée de m’avoir chauffée, mais elle a voulu me consoler en me disant qu’elle était aussi très tendue, et qu’on n’aurait probablement pas pu faire l’amour. -” Bah alors qu’est-ce qu’on aurait fait ???- Je t’aurais sucé…”En voulant me consoler un peu, elle n’a fait qu’empirer mon dépit. Ça aurait été une véritable fête pour moi qui n’avais pas encore eu l’occasion de vivre ce plaisir. Et d’une promesse de délices, je tombe aussitôt dans une déception qui empire au fur et à mesure que la discussion se prolonge ! Et pourtant, je ne pouvais pas lui en vouloir, bien évidemment, elle n’avait pas fait tout ça pour me faire du mal.Mes masturbations ultérieures ont été garnies de ce que je l’imaginais me faire, me suçant le gland à m’en faire cracher mon jus en hurlant, ou de ce que moi je m’imaginais lui faire, la labourant à la faire crier, dans toutes les positions, en caressant sa poitrine arrogante, jusqu’à éjaculer au fond de son ventre. Et bien évidemment, connaissant bien son emploi du temps, et pour cause, je ne me privais pas de me branler en la regardant passer dans la rue en bas de chez moi. Que c’était bon de la voir passer, ses seins se balançant au rythme de sa foulée tonique. Je les imaginais souvent autour de ma queue, me massant doucement, m’écrasant la bite, jusqu’à görükle escort me faire jouir, enfoui entre ses beaux melons… et voilà qu’un jour, elle leva la tête. “Hein ? Quoi ? Tu peux me voir ???” Petit coup de panique, vite rassuré sur le fait que ma main tenant mon engin était sous le rebord de la fenêtre, absolument hors de vue de Caroline, quinze mètres plus bas, et à cinquante mètres au moins de ma fenêtre. Elle me fit un petit signe de la main pour me dire bonjour à distance, que je lui rendis de la main gauche, la main droite étant trop occupée à aller et venir le long de ma tige dure, me faisant un bien fou alors que je regardais impunément cette jolie bombinette. Elle me regardait me masturber sans le savoir, en me faisant un grand sourire, et cette idée m’a excité d’une force considérable…. je ne pouvais plus me retenir, ma main serrait ma bite en accélérant ses mouvements, et mes jambes se mirent à trembler, mon sexe à palpiter, et mon sperme jaillit violemment, provoquant un plaisir particulier que je n’avais pas anticipé. Je regardais Caroline s’éloigner alors que les dernières contractions expulsaient ce qui me restait de sperme à faire sortir…. Mon orgasme avait été très fort, tellement bon ! Et je n’aurais pas crû que d’être observé à ce moment augmenterait autant mon plaisir. Voyeur, je le savais déjà. Exhibitionniste ? Moi ? AH BON ???Quelques années passent…..Je n’ai pas cherché à profiter de ce nouveau plaisir. J’assumais de plus en plus mes désirs, mes envies, mais pas encore assez. Mes copines ? On va abréger en disant qu’elles n’ont pas été pas nombreuses, et pas satisfaisantes de ce côté. Alors je poursuivais mes travaux manuels à un rythme soutenu. En été, je n’étais pas gêné par une fenêtre qui restait ouverte pendant mon plaisir, je savais ne pas être assez bruyant pour me faire entendre bien loin. Sauf une fois, j’ai entendu distinctement une voisine glousser avec une autre fille à la fenêtre voisine de la mienne juste après mon orgasme, mais je n’ai jamais vue la demoiselle en question, pas plus qu’elle ne m’a vu non plus. Et ça ne m’a pas empêché de continuer à profiter d’une ventilation naturelle pendant mes plaisirs solitaires.Il m’arrivait de me lever du lit pour aller chercher de quoi me soulager sans laisser des traces partout, ou carrément d’aller dans la salle de bain pour éjaculer dans la douche ou le lavabo. Je ne me préoccupais pas de ce qui se passait dehors, à l’exception du voisin d’en face. Sa fenêtre était directement en face de la mienne, à une cinquantaine de mètres, mais tout de même, on se voyait. Son appartement devait constituer une partie de la largeur du bâtiment. La longueur était dans le prolongement. Nos deux bâtiments formaient un T. On s’en branle ? Bah non, pour faire comprendre ce que j’ai vu, je suis obligé d’expliquer un minimum l’urbanisme local. Mon bâtiment formait donc la barre supérieure du T, le bâtiment en face de chez moi, la barre inférieure. En bas de cet immeuble, une petite place qui en faisait la longueur, et de l’autre côté, un autre bâtiment. Je ne pouvais donc pas voir les fenêtres de la longueur du bâtiment en face de chez moi. Mais toutes celles de l’autre, de trois quart sur ma gauche lorsque j’étais à ma fenêtre, elles, étaient parfaitement visibles. Mais ça ne m’a jamais inquiété. La distance était quand même importante.Ce jour là, je ne sais pas à quoi j’ai bien pu penser. Au cul, évidemment. J’y pensais tellement que la question ne se pose pas vraiment. Mais quel était l’objet de mon fantasme, sur quoi mon imagination avait-elle pu s’arrêter pour faire dresser mon sexe, et accompagner ma main, je n’en sais plus rien. Mais ce qui est sûr, c’est que ça s’est prolongé un certain temps. Comme souvent. La liberté des études, les horaires accommodants à ce stade de mon cursus, tout ça me permettait de me soulager plusieurs fois dans la journée selon les périodes, ou le plus souvent, de m’adonner au plaisir solitaire pendant longtemps. Très longtemps. J’ai toujours aimé me faire approcher de la limite, m’y maintenir un peu, laisser mon plaisir s’éloigner, et prendre mon temps pour le rappeler. Et plus je le faisais, plus mon orgasme était intense, et mon éjaculation en était plus violente. Je confesse qu’il m’est arrivé de m’arroser joyeusement non seulement le torse, mais aussi jusque dans les cheveux. Et accessoirement, sur mon traversin. Ça m’embêtait plus. Alors j’essayais d’éviter de repeindre mon environnement proche. Sopalin, kleenex, selon ce que j’avais sous la main. Et ce jour là…. je n’avais rien. Bah c’est pas grave, on va se lever, c’est pas la première fois que tu as besoin de le faire alors que tu as un barreau de chaise, dur comme de l’acier et rougeoyant, qui se dresse entre les cuisses, hein mon gars ? Allez hop, debout !Je me redresse sur mon lit, et je jette un coup d’œil : personne en face. Parfait, pas besoin de faire plus attention. Je me lève de mon lit, et me dirige vers le coin cuisine de mon studio pour y prendre de quoi recevoir mon plaisir. et sur le chemin, avant d’y arriver, mon regard est attiré vers le dehors. Mais pas vers l’immeuble d’en face. Non, de ce côté, toujours personne. C’est celui qui est sur le côté qui me coupe dans mon élan. Là, j’y vois une femme blonde, bursa escort bayan d’une bonne trentaine d’années, pas laide, accoudée à sa fenêtre, en train de fumer une cigarette. Il fait beau, il y a une belle lumière et ma fenêtre est ouverte. Pas en grand, mais assez pour que je sois dans l’entrebâillement, et que je sois visible, nu. Par réflexe, je me tourne, et suis sur le point de partir me réfugier dans la salle de bain. Et là, je m’interromps dans mon geste. Mon désir est toujours très fort, je me suis levé du lit parce que j’étais très près de l’orgasme. Et là, je suis entré en mode PLAISIR TOTAL. Carpe diem, bordel ! Je lui présente mes fesses depuis que j’ai voulu aller me cacher… et je décide de me retourner. Je suis visible. Et mieux que ça : elle peut me voir… et elle me voit. Elle a la tête tournée vers moi. C’est d’une clarté absolue. Elle voit un jeune homme par sa fenêtre, chez lui, nu, face à elle, qui se tient le sexe dressé vers le ciel. Et elle voit donc la main en question qui recommence à monter et descendre le long de cette tige, lentement, pour profiter de l’instant, et maintenir mon plaisir à un niveau qui entretienne cette audace nouvelle qui m’étreint. Toujours en me masturbant, je tends la main vers ma fenêtre… et la pousse pour l’ouvrir en grand. La vision se fait en angle, donc la différence est minime, mais ça me permet de me mettre un peu plus à l’aise : je recule d’un mètre, et me retrouve appuyé contre un mur. Elle me voit toujours, son visage est toujours bien orienté vers moi, et moi je la regarde en continuant de me branler lentement, mais en exagérant mon mouvement par rapport à mon habitude, afin qu’elle voit clairement mon geste. Elle est immobile et me regarde toujours. Est-ce qu’elle veut continuer à profiter du spectacle ? On dirait bien…Ma main recouvre entièrement mon gland, libérant ma hampe à sa vue pour le plaisir de ses yeux. Puis ma paume tourne sur mon gland pour mon plaisir à moi, elle se retrouve enduite de lubrifiant qui facilite mes mouvements, et descend ensuite le long de mon pénis jusqu’à prendre mes couilles et exposer toute ma queue à ma spectatrice. Je prends mon temps, en faisant bouger mon pénis par sa base. Intéressée ? Il semblerait bien. Alors on continue… Ma main poursuit son manège, remonte, redescend, remonte, tourne encore, j’accélère mes rotations sur mon gland et je ne peut contenir un gémissement de plaisir, et je ferme les yeux un instant, oubliant presque que je suis observée par une femme qui fume sa cigarette… mais le suis-je vraiment ? J’ouvre les yeux : elle est toujours là. Je la vois inspirer une dernière bouffée, et écraser son mégot. Elle reste à la fenêtre, toujours tournée vers moi. Je reprends mes caresses, mon plaisir est divin… Je veux le prolonger, mais la montée de l’orgasme est imminente. Je m’interromps un instant, pour ne pas jouir tout de suite. Ma main lâche ma queue, dressée vers le ciel, prête à exploser, et je la vois qui tressaute. Je lève les yeux, et ma voyeuse ne se contente pas de m’observer : elle me fait un signe de la main, pour m’inciter à reprendre mes caresses sur ma bite. Bien madame, j’obtempère ! Je reprend mon sexe en main, et mes caresses reprennent lentement, toujours en prenant bien soin de passer sur le sommet de mon gland pour bien montrer tout ce qui se trouve en dessous, et à descendre le plus bas possible pour qu’elle puisse voir le maximum de mon pénis dépasser par dessus ma main, afin qu’on soit deux à profiter de ce moment exquis. Je suis perdu dans mon plaisir, et elle, dans sa contemplation. Je sens un courant d’air me balayer le corps, ma main me donne un plaisir si intense, et la présence de cette femme décuple toutes les sensations…. Je n’en peux plus. J’ai tellement envie de jouir sous ses yeux, ma main accélère son ballet, les caresses de ma paume sur mon gland se font plus rapides, les vas et viens sur mon manche ne sont plus aussi prononcés, mais ils redeviennent plus efficaces pour me donner du plaisir. L’orgasme approche sous les yeux de ma voyeuse blonde, qui ne me quitte pas du regard, je tremble sous l’extase qui monte, ma tête bascule vers l’arrière, je reste bloqué la bouche ouverte comme pour un cri qui ne sort pas, tandis que mon sperme est expulsé violemment. Mon bassin est tendu vers l’avant, comme dans une offrande à cette étrangère, mon sexe dressé comme un poteau envoie des jets en l’air, qui me retombent dessus pour une bonne part, sur mon torse, puis mon ventre, avant de finir par me couler sur la main qui poursuit ses allers et venues. La vague de plaisir reflue peu à peu, je reprends pied dans le monde réel. Un homme nu, appuyé contre un mur, son sperme dégoulinant sur son corps et sa main, dans laquelle est enserré sa bite encore dressée, exposé au regard d’une femme à sa fenêtre. Je lâche mon pénis, et l’expose à ses yeux une dernière fois, tandis que j’essuie ma main sur moi. Sans fermer la fenêtre, je rentre dans la salle de bain pour prendre une douche bien méritée, dégoulinant de sueur et de semence.En sortant de ma douche, il n’y a plus personne à la fenêtre. Il ne reste que des souvenirs. Mais des traces sur le sol me prouvent si besoin était que ce n’était pas un rêve. J’ai revu plusieurs fois cette femme à sa fenêtre, avec un homme, en train de discuter. Mais je n’ai jamais essayé de renouveler cette expérience que je devais au hasard. Et ça n’aurait sûrement pas été aussi bon en la provoquant à nouveau.Exhibitionniste ? Moi ??? Ah bah il semblerait bien, oui.

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